TPE

Le projets Glowee : 

 

 

    Glowee est un projet français lancé en 2014 par Sandra Rey et Maëlle Chassard. Il consiste en la création d'un système de bioéclairage, qui serait donc, sans consommation d'électricité ni émission de pollution lumineuse, grâce à la bioluminescence. 

    Cette bioluminescence est issue de la symbiose avec des bactéries.

    Ces bactéries sont placées dans un milieu nutritife qui leur donne une durée actuelle de quelques jours. Cependant, Glowee espère arriver à un temps de 6 mois en 2017.

    Seulement ces "lampes" naturelles n'éclaires pas plus d'une bougie.

 

    Le projet a déjà remporté plusieurs prix, nottament lors de la cop 21, car ce projet s'inscrit parfaitement dans la question du développement durable et des l'énergies de demain.

 

    Le fonctionnement de ces mystérieuses coques lumineuses :

 

    Tout d'abord les scientifiques prélèvent de l'adn des bactéries servant à la luminositée du calamar. Ensuite, ils insèrent ses morceaux d'adn dans d'autres bactéries communes de laboratoire car celà est premièrement moins couteux et le fait de pouvoir l'appliquer à toutes sortes de bactéries rend le projet plus faisable que si ils devaient, à chaques reprises, extraires les bactéries de calamars et de les placer dans le milieux nutritifs, de plus les bactéries qu'ils cultivent sont plus à même de pouvoir vivres dans ces milieux.

    Une fois ces étapes réalisées, ils insèrent ces bactéries désormais bioluminescentes, dans des coques en résine, contenant un milieu mutritif pour leurs permettres de vivres.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les recherches d'Edith Widder :

 

 

    Eddy Wider est une scientifique océanogrape américaine, elle a reçu, pour ses recherches, le prix Macarthur dans le de but de les poursuivre et de les développer.

 

 

"Quand la biolumimnescence révèle la pollution."

 

 

    Les recherches d'Eddith Wider ont consisté à employer des bactéries bioluminescentes dans le but de pouvoir detecter et mesurer la présence de pollution, car ces bactéries sont sensibles aux composés chimiques toxiques.

    Pour cela elle prélèvent des sédiments au fond des estuaires, ensuite elles mélanges ces sédiments avec des bactéries bioluminescentes. 

    Après elle observe le résultat, c'est à dire, plus la luminosité diminue, plus la présence de pollution est importantes. Ceci est du au fait que les polluants provoques la mort des bactéries. 

    En étudiant la vitesse et la quantité de perte de luminosité l'on peut faire une approximation de la contenance en pollutions des échantillons prélevés dans les estuaires.

 

    Nous savons que cette techniques comporte plusieurs avantages, premièrement, les mesures sont rapides, ensuite il est ppossible avec cette technique de determiner rapidement le lieu même de la pollution, donc d'en déduires les causes ce qui facilite la mise en place de programme pour stopper cette pollution.

    De plus grâce à ce moyen de détection les mesures sont plus précises sur l'état du cours d'eau car les mesures sont faites avec les sédiments et non avec des échantillons d'eau, or une fois dans l'eau, les produits peuvent aiséments disparaitre alors que dans les sédiments ces même polluants reste sur de plus longues périodes.

 

    Pour finir cette techniques à l'avantage d'être plus parlante pour les personnes lambda, car la pollutions devient visibles, ce qui a le pouvoir de donner un impact plus important sur le grand public.

    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Quelques autres exemple de l'utilité de la bioluminescence :

 

La thérapie génique; la thérapie cellulaire; la cancérologie(suivi de l'évolution tumoral), l'infectiologie(suivi de la profilération bacterienne)